Je suis profondément attristé par la disparition brutale de mon compagnon de lutte Criwa Zéli Paulin, 1er Vice-président de l’Union des Journalistes de l’Afrique de l’Ouest (UJAO) et Président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire(UNJCI).
Je retiens de mon ami Criwa, l’image d’un homme de conviction, de justice et de vérité. Criwa est aussi un bulldozer dans le travail, car j’ai encore fraichement en mémoire sa participation active aux travaux du dernier comité de pilotage de notre projet de renforcement des capacités (PRC-UJAO), tenu à Bamako en fin décembre 2009. Il a, à cette occasion accepté de faire le déplacement au Mali en dépit de ses multiples occupations. Il s’agissait d’une réunion cruciale qui devait décider de l’avenir de ce projet que nous nous sommes évertués à mettre à la disposition des confrères de l’Afrique de l’Ouest. Notre regretté Criwa s’était battu au cours de cette rencontre pour que le PRC-UJAO puisse continuer à rayonner pour le plus grand bonheur des confrères de l’espace UJAO.
Je rappelle que l’UJAO avait salué sa brillante élection à la Présidence de l’UNJCI il ya de cela un an. Criwa Zéli était un fédérateur et savait par diplomatie, concilier les positions les plus extrêmes. Il était aussi fortement préoccupé par le rôle que la Presse ivoirienne doit jouer dans le cadre de la sortie de la longue crise qu’a connue le pays et surtout comment elle doit contribuer à l’organisation et à la tenue d’élections apaisées. L’amélioration des conditions de vie et de travail des journalistes ivoiriens était également au centre des combats menés par Criwa Zéli Paulin. Pour ce faire, notre confrère ne ménageait ni son temps ni son énergie, comme en atteste la récente organisation de la semaine nationale de la presse ivoirienne, en toile de fond le rôle des journalistes pour une couverture apaisée des élections en Côte d’Ivoire.
Pour soutenir les efforts de Criwa dans cette initiative, j’ai personnellement effectué le déplacement à Abidjan pour donner une dimension sous-régionale à l’évènement. Aujourd’hui ; la presse ivoirienne, ouest africaine et africaine pleurent la perte de ce communicateur émérite, discret et courtois.
Dans cette douloureuse épreuve, en ma qualité de Président de l’UJAO, j’adresse à sa famille, aux confrères ivoiriens, au Ministre de la Communication ainsi qu’au peuple de Côte d’Ivoire, ses condoléances attristées.
Que Dieu accueille Criwa Zéli Paulin dans son paradis. Amen !
Bamako, le 2 février 2010
Président de l’UJAO
Ibrahim Famakan Coulibaly
Je retiens de mon ami Criwa, l’image d’un homme de conviction, de justice et de vérité. Criwa est aussi un bulldozer dans le travail, car j’ai encore fraichement en mémoire sa participation active aux travaux du dernier comité de pilotage de notre projet de renforcement des capacités (PRC-UJAO), tenu à Bamako en fin décembre 2009. Il a, à cette occasion accepté de faire le déplacement au Mali en dépit de ses multiples occupations. Il s’agissait d’une réunion cruciale qui devait décider de l’avenir de ce projet que nous nous sommes évertués à mettre à la disposition des confrères de l’Afrique de l’Ouest. Notre regretté Criwa s’était battu au cours de cette rencontre pour que le PRC-UJAO puisse continuer à rayonner pour le plus grand bonheur des confrères de l’espace UJAO.
Je rappelle que l’UJAO avait salué sa brillante élection à la Présidence de l’UNJCI il ya de cela un an. Criwa Zéli était un fédérateur et savait par diplomatie, concilier les positions les plus extrêmes. Il était aussi fortement préoccupé par le rôle que la Presse ivoirienne doit jouer dans le cadre de la sortie de la longue crise qu’a connue le pays et surtout comment elle doit contribuer à l’organisation et à la tenue d’élections apaisées. L’amélioration des conditions de vie et de travail des journalistes ivoiriens était également au centre des combats menés par Criwa Zéli Paulin. Pour ce faire, notre confrère ne ménageait ni son temps ni son énergie, comme en atteste la récente organisation de la semaine nationale de la presse ivoirienne, en toile de fond le rôle des journalistes pour une couverture apaisée des élections en Côte d’Ivoire.
Pour soutenir les efforts de Criwa dans cette initiative, j’ai personnellement effectué le déplacement à Abidjan pour donner une dimension sous-régionale à l’évènement. Aujourd’hui ; la presse ivoirienne, ouest africaine et africaine pleurent la perte de ce communicateur émérite, discret et courtois.
Dans cette douloureuse épreuve, en ma qualité de Président de l’UJAO, j’adresse à sa famille, aux confrères ivoiriens, au Ministre de la Communication ainsi qu’au peuple de Côte d’Ivoire, ses condoléances attristées.
Que Dieu accueille Criwa Zéli Paulin dans son paradis. Amen !
Bamako, le 2 février 2010
Président de l’UJAO
Ibrahim Famakan Coulibaly
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